LES HIRONDELLES DE KABOUL prennent leur envol !

Ne manquez pas le film d’animation de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec, au cinéma depuis le 4 septembre.

Les hirondelles de kaboul

Adaptation à l’écran, en 2D, du roman éponyme de l’auteur algérien Yasmina Khadra, le film nous raconte l’été 1998 à Kaboul. La ville en ruines est occupée par les talibans. Atiq et Mussarat sont mariés depuis des années et ne se parlent presque plus. Lui supporte mal sa vie de gardien de prison pour femmes. Elle, souffrant d’une maladie incurable, est à l’agonie. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément et veulent croire en l'avenir. Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leur destin.

Dirigés admirablement par Zabou Breitman, les comédiens Simon Abkarian, Hiam Abbass, Zita Hanrot et Swann Arlaud prêtent leur voix aux différents personnages.

LES HIRONDELLES DE KABOUL, un beau parcours en festivals :

En 2018, le film, toujours en cours de production, est présenté au Festival d’Annecy, dans le cadre des Work In Progress. La Fondation Gan alors touchée par « la force de son sujet et son élan artistique », lui attribue son Prix à la Diffusion.

Une fois achevé, le film rencontre un fort succès lors de ses présentations, au Festival de Cannes (au Certain Regard) en mai dernier, puis au Festival d’Animation d’Annecy.
Fin août, le film remporte deux Valois lors du Festival d’Angoulême : le Valois de Diamant* qui consacre le Meilleur film de la compétition, ainsi que celui de la musique pour Alexis Rault.

*C’est la 4e année consécutive qu’un film soutenu par la Fondation Gan reçoit le Valois de Diamant, après MA VIE DE COURGETTE, PETIT PAYSAN et SHÉHÉRAZADE.

Côté presse, c’est aussi un franc succès :

« Intelligemment adapté, LES HIRONDELLES DE KABOUL est un très bel exemple (esthétique et narratif) du pouvoir de transmission d’idées essentielles, humanistes et féministes »
Cineuropa

« Le film se montre passionnant, voire même très émouvant, en confrontant ses êtres humains à l’appel du conformisme et le refoulement de soi. »
Télérama

« Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec signent un joli et puissant film contre l’intégrisme. Les tons pastel et les traits éthérés viennent en effet presque contredire la barbarie du sujet et de certaines scènes. »
Première

Découvrez sans plus attendre la bande-annonce et le BOT ludique (via Messenger) créé spécialement pour le film.