Nous voilà au seuil d’une nouvelle année pour la Fondation et à mi-chemin de son trentième anniversaire.
2017 a démarré en fanfare, avec 5 César pour deux films estampillés Fondation, DIVINES de Houda Benyamina et MA VIE DE COURGETTE de Claude Barras, films couronnés de récompenses prestigieuses en 2016 ; puis ce fut le tour de PETIT PAYSAN d’Hubert Charuel, triplement primé au Festival d’Angoulême en août, surprise de l’automne avec plus de 500 000 spectateurs en salle depuis septembre, et M le film de Sara Forestier, récompensé à Venise, dont la sortie fin novembre suscite déjà beaucoup d’émotions.
Si le contexte sociétal paraît souvent hostile, nos derniers films aidés (le cru des lauréats 2017), sont le théâtre de nombreux combats face aux injustices liées aux inégalités sociales (SOFIA), à la précarité (SHÉHÉRAZADE), aux préjugés sociaux et aux intolérances religieuses (TREMBLEMENTS), aux ignorances (LES PARTICULES). Heureusement l’espoir, même l’amour peut émerger de ce monde âpre et le quotidien s’ouvrir à une forme de fantastique.
Les rêves restent plus fort que tout.
Dominique Hoff Déléguée générale de la Fondation Gan pour le Cinéma
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